Karen, LAmie De Ma Femme (Partie2)
Karen, lamie de ma femme (partie2)
Lorsque la sonnette de la porte retentit, je descends ouvrir la porte à Karen qui me demande embarrassée comment va Virginie. Je reste dans l'expectative en lui disant qu'elle est couchée et qu'elle ne veut parler qu'à elle. Elle ne se doute à aucun moment que je l'entraîne dans un traquenard. Elle monte donc le raide escalier devant moi, ne pensant même pas que sa minijupe me révèle ses fortes cuisses, nues au-dessus de la lisière des bas, ainsi que son slip étroit qui révèle l'ampleur de ses fesses charnues, laissant même deviner les lèvres de sa vulve que cache à peine le mince filet de l'étoffe. Arrivée dans la chambre, elle s'agenouille sur le lit, découvrant les épaules de Virginie qui se jette dans ses bras en pleurs. Elle lui confie qu'elle m'a tout raconté et que j'ai été adorable avec elle, ne la grondant pas, mais qu'il y a une condition à ma mansuétude. Il faut qu'elles fassent l'amour toutes les deux devant moi. Karen est une femme qui n'a pas froid aux yeux et qui d'après les confidences qu'elle a faites à mon épouse, a eu beaucoup d'amants. Elle entretient depuis plus de huit ans une relation avec un ami de son fils depuis ses 34 ans alors que le jeune homme en avait 18. Elle a même, par jeu, circonvenu un jeune pédé notoire et l'a mis dans son lit. Celui-ci a viré sa cuti et l'a supplié de le garder comme amant ce qu'elle n'a pas voulu. Je suis même certain qu'elle n'a rien contre les partouzes qu'elle a dû certainement pratiquer assidument. Leur relation Virginie et elle étant depuis longtemps une amitié sincère, rien d'équivoque n'avait été évoqué jusqu'ici. Karen, ne se démontant pas, sans me regarder, dégrafe sa jupe et enlève rapidement son corsage, restant en soutien-gorge, avec son slip, son porte-jarretelles et ses bas noirs. Elle est bien en chair, je l'ai déjà dit, mais c'est la première fois que je la vois dans cette tenue. Elle a bien sûr des bourrelets aux hanches, son ventre est bien rebondi, ses seins débordent largement de son soutif, mais elle a tout, d'une femme peinte par Rubens et ses appas semblent bien prometteurs.
- Tu veux nous voir faire l'amour, tu es un vieux polisson et un coquin, cela ne me dérange pas, tu sais, ta petite femme est adorable, elle a des seins et une moule qui sont à croquer et puis elle vient d'avoir des orgasmes à en mourir, surtout quand une bonne grosse queue bien raide lui a transpercé la minette. J'en suis le témoin le plus impartial surtout que c'est mon amant qui l'a baisé devant moi.
En disant cela, Karen a glissé ses mains sous la nuisette de Virginie, affolant déjà la pointe de ses seins, puis elle lui prend la bouche, glissant sa langue entre les lèvres tendues de ma femme. Celle-ci ne reste pas inactive, car elle fait glisser le slip de son amie, découvrant un peu plus ses fesses déjà presque nues, puis, enfilant ses doigts dans l'entrejambe qui s'écarte sans contrainte, elle fait apparaître la fente étonnamment étroite de son amie dans laquelle elle glisse deux doigts, frottant le gros clitoris qui jaillit soudain, faisant tressauter le ventre et le pubis garni d'un léger duvet blond. Karen a relevé la nuisette de Virginie, masturbant elle aussi avec frénésie le vagin grand ouvert de mon épouse, dont les chairs sont devenues rouges sang par l'excitation qu'elle ressent. Karen se penche alors, léchant avec délectation le suc qui sort de la vulve lubrifiée. Les deux femmes n'ont plus aucune pudeur, elles se sont maintenant complètement dénudées, se livrant sans vergogne à leur gouinage intime. Karen s'est étendue par-dessus mon épouse en tête-bêche, toutes les deux se mangent littéralement leurs sexes, leurs corps étroitement emboîtés, se frottant avec une lubricité inimaginable. Je sens mon sexe qui gonfle et durcit soudainement, aussi, je ne peux résister au gros-cul de Karen qui tressaute devant mes yeux. Me déshabillant en un clin d'il, je viens présenter ma pine entre les fesses dodues devant les yeux de ma femme, qui, surexcitée, les écarte avec ses deux mains dans une invite muette à pénétrer son amie.
- Canaille, tu en profites et sous les yeux de ta femme. J'espère qu'après m'avoir ravagé la moule, tu vas aussi la contenter. Allez viens, bourre-moi la chatte, j'en ai trop envie. Oh ! Que c'est bon ma chérie, ton mari me baise divinement. Plonge ton pieu dans ma grotte, défonce-moi le con mon chéri. Ah ! Ah ! Je jouis, je jouis, je jouis. Oh ! Quel bonheur. Oui ! Oui ! Oui ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.......
Je me répands dans le vagin de Karen que je viens de prendre en levrette pendant que mon épouse en dessous me lèche les couilles. Quel pied mes aïeux. J'ai pris les globes mammaires de Karen dans les mains et je les malaxe, alors qu'elle crie encore sa joie lubrique, surtout que Virginie lui suce aussi son clitoris en alternance avec mes bourses. Bientôt ma bite se rétrécit et se dégage du vagin que je viens d'honorer. Sans hésiter, mon épouse adorée se laissant aller dans la plus pure dépravation, aspire mon pénis recroquevillé et suce encore le foutre que j'ai éjaculé dans le pertuis de son amie. Épuisé par la chevauchée que je viens d'effec sur notre plantureuse amie, je me retourne sur le lit alors que les deux femmes s'embrassent de nouveau, insatiables dans leurs turpitudes. Elles sont l'une sur l'autre, bouche contre bouche, seins contre seins, sexe contre sexe, se frottant furieusement la vulve pour jouir encore et encore. Je ne me lasse du spectacle qu'elles me donnent, c'est beaucoup plus bandant qu'un film porno.
À ma grande surprise, je sens ma verge qui reprend de la vigueur. Ce n'est pas possible, je crois rêver. Cette soirée mémorable me redonne une virilité très rapidement alors que d'habitude, il me faut presque une heure pour récupérer. Karen s'est rendue compte que ma tige s'est redressée, aussi elle se retourne vers moi, puis prenant délicatement la membrane de ma verge, elle la fait coulisser lentement, imprimant à sa main un doux va-et-vient, puis, elle engloutit le bâton noueux entre ses lèvres, suçant avec une dextérité diabolique mon sexe qui n'a jamais connu une pareille habileté.
- Maintenant mon chéri, tu vas copuler avec ta petite femme, elle ne demande que ça.
Karen m'astique toujours mon organe génital avec ses doigts. Enfin, elle dispose Virginie qui délire encore de la volupté qu'elle vient de connaître, les cuisses complètement écartées devant moi, tout en me soufflant de la baiser tout de suite. À genoux, je suis devant la chatte béante de ma femme alors que son amie attire ma tige vers la fente qui m'attend. Je m'enfonce dans l'ouverture que je connais si bien. Karen s'est disposée derrière moi et je sens sa langue qui lèche l'intérieur de mes fesses, de la raie culière aux bourses qu'elle grignote parfois. Je bande comme un taureau et m'enfonce le plus profondément possible dans la cavité accueillante de mon épouse.
Soudain, je sens un doigt qui perce mon sphincter et creuse dans le conduit de mon anus, m'arrachant un cri de stupeur et me faisant éprouver une jouissance incroyable. Ma verge est raide à en éclater et je m'agite avec violence dans la gaine vaginale, arrachant à mon épouse des cris de plaisir et de bonheur inouïs. Karen continue à m'enculer de son index auquel elle a joint maintenant le majeur. Celle-là, je me ferais bien aussi son gros popotin, quel délice de pouvoir s'enfoncer entre les globes charnus de ses fesses.
Tout en fantasmant sur le cul de Karen, je creuse toujours dans les chairs intimes de ma chère et tendre, lui procurant orgasme sur orgasme, comme jamais elle n'en a eu auparavant, elle bave, elle se démène dans tous les sens, projetant son ventre contre le mien, criant son bonheur et sa jouissance sans aucune retenue. Elle pleure, elle rit, elle supplie, disant qu'elle n'en peut plus, mais elle en veut encore, toujours plus. D'un seul coup, je me répands en elle, lâchant mon foutre qui gicle à flot dans sa matrice martyrisée. Je me laisse glisser sur elle alors que Karen fouille encore mon fondement avec ses doigts fureteurs.
Au petit matin, je me réveille avec une drôle de sensation. En effet, je suis au milieu du lit conjugal alors que mon épouse à ma gauche est blottie contre moi alors que son amie Karen à ma droite, est à plat ventre, à moitié couchée sur moi, un sein s'écrasant sur ma poitrine et une jambe et une cuisse recouvrant l'une des miennes. Les deux femmes dorment encore alors que je vois mon sexe se dresser verticalement entre mes couilles, à la pensée de ce qui s'est passé cette nuit et surtout en sentant la chaleur des deux corps féminins qui sont étroitement emboîtés sur le mien. Je n'ose bouger lorsque toutes les deux, presque en même temps, ouvrent un il et s'aperçoivent de mon état. Sans se concerter, elles avancent chacune une main prenant délicatement mon vit entre leurs doigts, caressant imperceptiblement la membrane de mon prépuce. Puis elles approchent leur tête de mon gland et à tour de rôle elles le sucent délicatement, leur langue se mélangeant parfois me donnant une vision lubrique de ces deux femelles qui me pompent tout en se gouinant. Je ne peux résister longtemps et, à mon grand regret, je sens ma semence monter dans l'urètre et jaillir de mon gland dans la bouche des deux femmes qui se barbouillent avec délices de mon foutre gluant. Puis elles s'allongent toutes les deux sur moi, m'enduisant les lèvres du sperme qu'elles viennent de lécher, nos bouches s'embrassant alternativement dans une pure communion de tous nos sens émoustillés.
Je récupère dans un état second, me proposant, lorsque j'aurais repris des forces, de fouiller le popotin de la plantureuse amie de mon épouse. Je songe à la manière dont je vais pouvoir m'y prendre lorsque je pense qu'il faut tout de même que je goûte à sa cramouille avec ma langue. Me redressant, je profite de sa position alanguie pour me glisser entre ses cuisses, la léchant dans ce qu'elle a de plus tendre et approchant ma tête de son pubis. Elle a étonnamment un tout petit sexe à peine entrouvert avec autour un très léger duvet blond. Ses lèvres sont finement ourlées, sa vulve ressemblant à celui d'une jeune fille. Pourtant d'après les confidences qu'elle a faites à Virginie, son vagin a reçu sa part de pines, car elle collectionne des amants, depuis fort longtemps, en sus de son jeune amant de vingt-six ans qui l'honore deux ou trois fois par semaine. Karen devant la sollicitation de mes lèvres ouvre complètement ses cuisses qui vibrent sous mes caresses linguales. Je fais le tour de son aine, glissant ma langue dans ses plis la faisant frémir de tout son corps. Virginie qui voit bien mon entreprise, suce délicatement un mamelon de son amie, en agaçant l'autre téton de ses deux doigts réunis. Le ventre de Karen ondule voluptueusement sous mes attouchements libidineux. Alors je glisse ma langue tout au bord de sa vulve, écartant délicatement les grandes lèvres, pointant le bout dans la chair rose qui s'humidifie sous ma caresse linguale. Le bassin féminin se soulève et vient à la rencontre de ma bouche, sollicitant une pénétration plus profonde. Je plonge dans la fente qui se disjoint, puis je glisse un doigt à l'intérieur du vagin, mes lèvres aspirant avec précaution le clitoris qui pointe orgueilleusement au-dehors du capuchon. Karen commence à gémir de plaisir, ondulant sous les caresses qui affolent ses sens. Je suce son bourgeon, le mordillant de temps en temps tout en actionnant deux doigts dans sa fente maintenant largement écartée. Je profite de sa disposition pour enduire un doigt de mon autre main de ma salive, puis avec le bout de celui-ci, je caresse la rosace plissée de son anus, déclenchant chez la femme des contractions très fortes de son derrière charnu et la faisant murmurer.
- Oui. Continue. J'aime. Entre ton doigt, mon chéri n'hésite pas. Oh ! Oui comme ça ! Que c'est bon ! Ahhhhhh.......
Tout en continuant à lui bouffer sa chatte et son clito, j'ai poussé mon doigt dans l'anneau du sphincter et traversé la membrane étroite et contractée pour racler son conduit anal lui arrachant un gémissement avide. Puis j'ai joint un second doigt dans sa gaine rectale que j'agite de plus en plus vite. Elle râle maintenant sa jouissance prenant un plaisir rare à mes doigts qui se glissent dans ses deux cavités en même temps. Virginie a pris sa bouche, les deux femelles s'embrassant furieusement alors que je sens mon sexe durcir et s'allonger démesurément. Je me dispose à genoux, puis disposant mes mains sous les fesses que je soulève, je viens perforer l'illet encore étroit de la Junon qui à mon grand étonnement pousse son cul au-devant de mon vit qui lui transperce d'un seul coup l'orifice anal pour s'engouffrer au fond de la muqueuse rectale. Elle pousse tout de même un cri à cette pénétration brutale.
- Oh ! Mon salaud, doucement, tu vas me déchirer. Mais ma chérie ton mari m'encule. Oui, j'aime ça ! Allez ! Bourre-moi le cul cochon. Oh ! Oh ! Oh ! Oui ! Oui ! Oh ! Oui ! Ahhhhrrrrrrrrrrr.............
Alors que je défonce furieusement le postérieur de Karen, mon épouse s'est allongée sous le ventre de son amie et elle a repris ma succion préalable, absorbant le clitoris enflammé, sa tête se trouvant à quelques centimètres de ma queue qui entre et sort de l'anneau entièrement dilaté par mes coups de boutoir. Je vois les yeux exorbités de mon épouse à la vue de ma verge qui creuse un sillon dans cette croupe volumineuse, alors que sa complice crie de plus en plus sa joie à se faire labourer son canal anal pendant que son bourgeon si sensible est aspiré entre les lèvres amies. Je suis très surpris de pouvoir retenir mon éjaculation, prenant un pied terrible à enculer l'amie de ma femme devant elle. C'est une situation jubilatoire certainement très rare et je me rassasie de voir son étonnement devant ce qui se réalise sous ses yeux. Enfin ma verge tressaute soudain dans le rectum de notre amie commune, aspergeant à gros jets son fondement, alors qu'elle délire de la jouissance incroyable que nous venons tous deux de lui procurer. Karen restera durant plus de dix ans une amante exceptionnelle pour Virginie et quelquefois pour moi...
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